Des confrères de travail et leurs épouses rendent visite à Raymond K. et Élisabeth
(Haïti, décembre 1979)
Photos d'ici et d'ailleurs prises au fil de la vie.
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Lundi soir, après le marché de Djenné, les marchands s'en retournent.
Jeune fille près du puit.
«Vive les As» et «Welcome ladies»
Palabres sous le Baobab.
Femmes équilibristes.
Tous les lundi, un immense marché prend place devant la mosquée.
On y retrouve toutes les marchandises nécessaires à la vie quotidienne.
Plusieurs marchands ont marché toute la nuit pour offrir leurs produits.
Tous les moyens de transport sont bons...
Djenné est érigée sur une île et il faut traverser le Bani sur un bac pour s'y rendre.
Le bac transportant notre véhicule est propulsé par l'énergie humaine.
Porte d'entrée de Djenné.
Aux petites heures du matin, nous sommes à la porte de la mosquée de San et prêts pour la visite.
Mosquée de briques d'argile séchée au soleil et crépie (adobe) sur une structure de rondins de bois.
Marcel C. sur le toit de la mosquée; au loin, la ville endormie.
Remarquez le sommet des piliers surmonté d’œufs d’autruches.
La cour intérieure de la mosquée.
Au départ de Bouaké.
Notre première nuit se passe à Niélé en Côte d'Ivoire.
Dès l'aube, les femmes transportent eau et marchandises sur leurs têtes.
Mur de pierres ajustées et sans mortier caractéristique des constructions Incas.
Zone de culture en palier.
La ville sacré des Incas, encore enveloppé d'une brume matinale, se révèle dans toute sa splendeur au fil de notre parcours.
Autour du Machu Picchu, les autres sommets emergent des nuages et se laissent lentement découvrir.Nous sommes à environ 2400 mètres d'altitude.
Dans le quartier des agriculteurs, on découvre une culture en terrasses et les bandes de terre sont arrosées par un système d'irrigation et de rigoles en zigzag.